Dans la continuité de sa série sur les transports en commun (Métroscopie, le journal d'un usager débonnaire), Jean Zoubar s'efforce de conjurer son misérable sort d'usager de lignes pourries en faisant appel à son imagination déviante et son sens de l'humour mutlidirectionnel . Dans cet ouvrage, adieu ligne 13, l'auteur s'est amusé à renommer toutes les stations de ce trajet plus maudit qu'une armada de poètes sénéscents et à en expliquer l'origine tordue. Ainsi la station Garibaldi a été rebaptisée Gare aux bandits et doit son nom à la volonté de la population bourgeoise du coin de se protéger de tous les malfaisants qui en veulent à leur porte-monnaie et smartphone dernier cri. L'auteur a également agrémenté ce livre de réfléxions nées dans les couloirs infernaux, domaine inexpugnable du démon RATP, telles que : Ce matin, lorsque je me placerai dans le wagon bondé, éviter à tout prix de me mettre face aux fenêtres, ces miroirs déprimants ou : Que tu prennes la ligne 13 du nord au sud ou du sud au nord, si tu ne chopes pas une place assise, tu es nassé les trois quart du temps (pour ne pas dire ligoté). Bref, Adieu ligne 13, vous fera oublier pendant un temps vos ennuis de transports. Et si ce n'est pas le cas, reste l'alcool, mais bon pas dit que « ce remède » soit aussi marrant. Dans la même collection : Métroscopie, le journal d'un usager débonnaire, un poète à vélo, sur la route de la bière, poèmes d'amour rigolos.
Dans la continuité de sa série sur les transports en commun (Métroscopie, le journal d'un usager débonnaire), Jean Zoubar s'efforce de conjurer son misérable sort d'usager de lignes pourries en faisant appel à son imagination déviante et son sens de l'humour mutlidirectionnel . Dans cet ouvrage, adieu ligne 13, l'auteur s'est amusé à renommer toutes les stations de ce trajet plus maudit qu'une armada de poètes sénéscents et à en expliquer l'origine tordue. Ainsi la station Garibaldi a été rebaptisée Gare aux bandits et doit son nom à la volonté de la population bourgeoise du coin de se protéger de tous les malfaisants qui en veulent à leur porte-monnaie et smartphone dernier cri. L'auteur a également agrémenté ce livre de réfléxions nées dans les couloirs infernaux, domaine inexpugnable du démon RATP, telles que : Ce matin, lorsque je me placerai dans le wagon bondé, éviter à tout prix de me mettre face aux fenêtres, ces miroirs déprimants ou : Que tu prennes la ligne 13 du nord au sud ou du sud au nord, si tu ne chopes pas une place assise, tu es nassé les trois quart du temps (pour ne pas dire ligoté). Bref, Adieu ligne 13, vous fera oublier pendant un temps vos ennuis de transports. Et si ce n'est pas le cas, reste l'alcool, mais bon pas dit que « ce remède » soit aussi marrant. Dans la même collection : Métroscopie, le journal d'un usager débonnaire, un poète à vélo, sur la route de la bière, poèmes d'amour rigolos.
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